Une réponse par l’exemple aux détracteurs des Enseignements Pratiques Interdisciplinaires.
Cet exemple d’EPI (réalisé avec ma collègue A. Cazin) montre clairement : – que l’EPI ne « prend » pas sur les disciplines puisqu’il est ancré dans les deux disciplines et permet d’aborder des points de programmes autrement et non en plus du reste. – que l’EPI n’est pas à faire après l’acquisition des « bases » mais permet bien d’acquérir ces « bases » – que l’EPI bénéficie autant aux « bons » qu’aux élèves en difficulté en donnant du sens aux apprentissages. Surtout dans cet exemple la différenciation est aisée (choix du personnage plus ou moins difficile, ressources adaptées aux élèves, aides différenciées …) – que l’EPi n’est ni du « bricolage » ni un enseignement au rabais nivelant par le bas. – que mettre en place un EPi n’est pas « une usine à gaz »